1. Quand pour la premièr' fois, Bébert encula Une javanaise, Il sentit sur son doigt Quelque chos' de gras Comm' d' la mayonnaise Son con était si long, Si large et profond Si plein de liquide, Qu'il avait l'impression Que son saucisson Nageait dans le vide
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C'est la java, la bite à papa, Les couill's à Julot Sa p'tit' casquett', ses grosses roupettes Et son p'tit mégot, Oh! Viens mon Landru, mon tordu, Fous-la moi dans l'cul, Viens mon trésor, mon Nestor Pousse un peu plus fort.
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2. Mon père était branleur Astiqueur de bites Dans un bal musette, Ma mère était putain, Faisait des pompiers A tous ceux d' l'orchestre. Non! Tu ne verrras plus Les poils de mon cul, J'en ai fait des brosses A vingt francs du kilo, C'est du bon boulot, Pour nourrir les gosses.
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1. O! muse prête-moi ta lyre, Afin qu'en vers je puisse dire Un des combats les plus fameux, Qui s'est déroulé sous les cieux.
3. Cent mille poux de forte taille
6. Le général, nouvel Enée,
9. Monté sur une pair' d'échasses
12. Et ils bouchent toute la fente,
15. Soudain, voyant plier son aile,
18. Un soir, au bord de la ravine,
21. En vain l'on chercha sa dépouille
24. On lui bâtit un cénotaphe
27. Au bord du profond précipice,
30. Et l'on en fit une relique |
De profundis morpionibus Tra, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, Ah! (bis)
7. C'est un général plein d'audace
10. Puis au plus fort de la bataille,
13. Et pour reprendre l'avantage,
16. Transpercé malgré sa cuirasse
19. C'était l'ombre du Capitaine
22. On l'a recouvert d'une toile
25. Douze des plus jolies morpionnes
28. Tandis que la foule en détresse,
31. Depuis ce jour, on voit dans l'ombre |
2. Un jour de fêt' comm' saint' Thérèse, A Saint' Gudul' chantait la messe Elle sentit soudainement Un énorme chatouillement.
5. La bataille fut gigantesque,
8. Un morpi-on motocycliste,
11. Un morpion de noble origine,
14. A cheval sur une roupette,
17. En vain la foule désolée,
20. Devant cette ombre qui murmure,
23. Son cheval à pied l'accompagne;
26. Restés un peu plus en arrière,
29. Sur une couill' grosse et velue,
32. Depuis ce temps dans la vallée, |
33. Et parfois par les soirs de brume, Quand sur la terr' se lèv' la lune, On voit les âmes des morpions Voltiger sur les poils du con.
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Récitatif: Libere nos de morpionibus omnibus Qui condamnant couillones, Qui devorant et per omnia Testiculos, testiculorum! Amen!
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1. O! mon berger fidèle, Viens t'en reposer sur mon coeur! A ma voix qui t'appelle, Viens t'en me donner du bonheur
3. Je sens tes testicules
Ah! retir'-moi ta pin' du cul |
Ah' fous-moi donc ta pin' dans l' cul, Et qu'on en finisse Ah! fous-moi donc ta pin' dans l' cul, Et qu'on n'en parle plus
4. Ta pine pousse et tasse
6. Ta pine est toute molle |
2. Ta langue me trifouille Du con au sommet de mes seins Et ton doigt me chatouille Jusqu'au plus profond du vagin
5. Ton vit devient molasse
Ah! fous-moi l'god'michet dans l'cul, |
1. O! mon berger fidèle, Quand viendras-tu guérir mon coeur! A ma voix qui t'appelle, Quand porteras-tu bonheur
2. Quand les oiseaux gazouillent
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Il faudra bien qu'on n' se quitt' plus, Et qu'on en finisse Il faudra bien qu'on n' se quitt' plus, Et qu'on n'en parle plus
3. Pendant que batifole
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