1. Jean l'autre soir en montant l'escalier (bis) Trouva sa femme étendue sur l' palier (bis) Ohé portier! ma femme est morte; Venez venez vit' venez vit' la chercher, Ou bien j' la fous derrièr'' la porte
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Car c'était ell' qui faisait le chahut à la maison La guenon, la poison, Elle est morte! Ell' ne mettra plus de l'eau dedans mon verre La guenon, la poison, Elle est morte!
3. Lors Jean s'en vint trouver Monsieur l' curé (bis)
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6. Lors Jean s'en vint retrouver sa moitié (bis) Sa garc' de femme avait ressuscité: (bis) O Aglaé, tu n'es pas morte! Ell' lui répondit, le pot d' chambre à la main "Voici la tisan' que j' t'apporte" |
Et comm' toujours je ferai le chahut à la maison Ta guenon, ta poison N'est pas morte! Je mettrai encor' de l'eau dedans ton verre Ta guenon ta poison, N'est pas morte! |
On retrouve cette chanson en 1935 aux éditions Paul Beuscher avec quelques variantes. | |
1. Jean l'autre soir montant son escalier (bis) Trouva sa femme étendue sur l'palier (bis) Voisins : ohé Ma femme est morte Venez, venez vite, venez vit' la chercher Sans quoi j'la fous derrièr' la porte
2. Jean bien saoulé montant son escalier (bis)
4. Puis moult oignons Jean s'en fut acheter (bis)
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Car c'était elle qui faisait le tapage à la maison Maintenant : la poison ! elle est morte! Ell' ne mettra plus de l'eau dans mon verre Car maintenant la poison elle est morte !
5. Puis Jean s'en fut réveiller le curé (bis)
7. Auprès de sa femme Jean était retourné (bis)
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