1. En revenant de la foire, la a la a la a la a la a la a la a la En revenant de la foire, De la foire de Saint-Cloud. (bis)
6. Pour entrer dans cett' chapelle...
8. Car s'il y avait une mèche...
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2. Je rencontrai une belle... Qui me demanda cent sous.
3. Pour acheter une robe...
5. On voyait une chapelle...
7. Et tenir une chandelle...
9. Et les pompiers du village...
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Signalons qu'on chante, sur le même timbre: |
Maman, qu'est-ce qu'un pucelage, La a la a la a la a la a la a la a la Maman qu'est-ce qu'un pucelage, C'est un oiseau mon enfant (bis)
Ma p'tite soeur qui n'en a qu'treize
Le curé qui l'a vu faire,
Ne sachant comment y faire
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Un oiseau qu'on met en cage Jusqu'à l'âge de seize ans (bis)
Avec soeur Marie-Thérèse
La supérieure en colère
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1. Les filles de la Rochelle La a la a la a la a la a la a la a la Les filles de la Rochelle Ne sont pas bégueul' du tout (bis)
6. Il faut présenter un cierge ...
8. Et les pompiers d' la Rochelle ... |
2. Ell's portent des chemisettes ... Qui n' leur vienn'nt mêm' pas au g'noux (bis)
3. Le tailleur qui les a faites ...
5. Pour entrer dans cett' chapelle ...
7. Car s'il y avait une mèche ...
9. Et les gars de la Rochelle ... |
1. Les filles de la Rochelle La a la a la a la a la a la a la a la Les filles de la Rochelle Ne sont pas vilain's du tout (bis)
6. De les avoir fait's si belles ... |
2. Ell's portent des chemisettes ... Qui n' leur vienn'nt mêm' pas au g'noux (bis)
3. Le tailleur qui les a faites ...
5. Ell's vont tout's dans cett' chapelle ...
7. Et leurs coeurs brûl'nt pour les belles ... |
8. Et les pompiers d' la Rochelle ... N'en viendront jamais à bout (bis)
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1. Dans ce Bicêtre où l'on s'embête Loin de Paris que je regrette, J'ai bien souvent et longtemps médité Sur la vieillesse et la caducité Or, écoutez ce refrain de Bicêtre, Cette leçon vous servira peut-être:
2. D'un vieux, un jour j' t'nais la quéquette
4. Quand la vieilless' triste et caduque |
On n' peut pas bander toujours, Il faut jouir de ses roupettes, On n' peut pas bander toujours, Il faut jouir de ses amours
5. À l'oeuvre donc, jeunes athlètes! |
Hospices de Bicètre, au sud de Paris, gérontologie. |
1. Il était deux amants Qui s'aimaient tendrement; Ils étaient heureux Et du soir au matin Ils allaient au turbin, Le coeur plein d'entrain. A l'atelier, les copin's lui disaient: "Pourquoi qu' tu l'aim's, ton Dudule? Il est pas beau, il est mal fait"; Mais elle, tendrement, répondait: "Z' en fait's pas, tagadagada, Les amies, tiguidiguidi, Moi c' que j'aime en lui."
2. Ça durait d'puis longtemps |
"C'est la gross' bite à Dudule, J' la prends, j' la suce, elle m'encule, Ah! que c'est bon que c'est chaud, que c'est rond Quand il m' la cal' dans l'oignon' C'est pas un' bite ordinaire Quand il m' la fout dans l'derrière, De foutre et de merde elle est toute remplie Des couill's jusqu'au nombril, A Dudu-ule"
3. J'étais seule un beau soir, |
Cette chanson a été ramenée de France par deux étudiants de Polytechnique. Malheureusement suite à quelque soirée trop arrosée, ils n'avaient retenu que le premier couplet. Alors ils reconstituèrent, vaille que vaille les couplets suivants, ce qui explique que la version belge diffère quelque peu de celle chantée en France et qui nous a aimablement été communiquée par Jean-Pierre Baud de Lille |
Ça devait arriver Ils se sont mariés Ils ont convolé D'abord ça tourna rond Il lui chatouillait l' menton Puis, l' flanqua des gnons A l'atelier, les copin's lui disaient : "Pourquoi tu l'tues pas, ton Dudule? Il est pas beau, il t'a cirée". Mais elle, tendrement répondait: "Z' en fait's pas, tagadagada Les amies, tiguidiguidi Moi c' que j'aime en lui." |
Nos deux polytechniciens, très fiers de leur oeuvre s'empressèrent de la publier dans le journal du cercle. Hélàs en 1950, la censure était encore fort active. Convoqués chez le recteur de l'Université, et sommés de s'expliquer sur cette "horreur", l'un d'eux eut cette répartie superbe: "D'accord, Monsieur le Recteur, cette chanson est ignoble, mais la musique en est vraiment dégueulasse et ça, nous n'avons pas publié!" Les choses en restèrent là et la chanson entra de plain pied dans le folklore bruxellois. |