1. Alexandre dont le nom A rempli la terre, N'aimait pas tant le canon Qu'il faisait le verre Si le grand Mars des guerriers S'est acquis tant de lauriers Que devons, vons,vons, Que pouvons, vons, vons, Que devons nous faire Sinon de bien boère?
3. Le bonhomme Gédéon |
2. Quand la mer rouge apparût Aux yeux de Grégoire, Aussitôt ce buveur crut Qu'il n'avait qu'à boire; Moïse fut bien plus fin Voyant que ce n'était vin Il la pa, il la pa, Il la sa, sa, sa, Il la passa toute Sans en boire goutte.
4. Loth qui fut homme de bien. |
5. Noé pendant qu'il vivait, Patriarche digne, Savait bien comme on buvait Du fruit de la vigne; De peur qu'il ne bût de l'eau Dieu lui fit faire un bateau Pour chercher, cher, cher, Pour trouver, ver, ver, Pour chercher refuge Au temps du déluge. |
Sur cette chanson fort ancienne Louis-Claude Daquin (1694-1772) a bâti un célèbre Noël bressan: |
Prenez, bergers, vos hautbois Quittez vos houlettes. Unissez aussi vos voix Avec vos musettes. Chantons noé, Noé, Car Jésus est déjà né Tout nu sur, sur, sur, Tout nu la, la, la, Tout nu sur, tout nu la, Tout nu sur la dure Dans cette froidure |
Amis, je vous ai jà dit De quitter vos bêtes. Et d'aller dans ce taudis, Pour y faire fête. Et voir de vos propres yeux Jésus né dans ce bas lieu, Allez y, y, y, Allez donc, donc, donc, Allez y, allez donc, Allez y donc vite Je vous y invite. |
Bergers, quoi qu'il soit enfant Et dans la misère. Il est pourtant triomphant De toute la terre. Il est le dauphin des cieux Pour nous né dans ce bas lieu Dedans u, u ,u, Dedans ne, ne, ne, Dedans u, dedans ne, Dedans une étable Pauvre et misérable. |
On rencontre de nombreuses autres variantes: |
Allons, bergers, allons tous, L'ange nous appelle. Un sauveur est né pour nous, L'heureuse nouvelle. Une étable est le séjour Qu'a choisi ce Dieu d'amour, Courons z'au, z'au, z'au, Courons plus, plus, plus, Courons z'au, courons plus, Courons z'au plus vite, A ce pauvre gîte.
Quels présents faut-il porter |
De nos plus charmants concerts Que tout retentisse, Le ciel à nos maux divers Est enfin propice. Accordons en ce grand jour Le fifre avec le tambour. Timbale et, let, let, Timba trom, trom, trom, Timbale et, timba trom, Timbale et trompette Pour lui faire fête.
Mais pour bien faire la cour |
Satan au fond des enfers, Brûlant dans les flammes Voudrait dans les mêmes fers Enchaîner nos âmes. Ne craignons plus les combats, Tout son pouvoir est à bas, Malgré sa, sa sa, Malgré fu, fu, fu, Malgré sa, malgré fu, Malgré sa furie, Dieu nous rend la vie.
Prends ton verre et moi le mien, |
1. Ah! que les mères d'à présent Ont du tourment avec leurs filles. Elles ont toutes un amant, Surtout quand elles ont vingt ans. Pour un amoureux Jeune vigoureux. Elles briseraient fers et grilles, Et s'échapperaient d' la Bastille. |
2. Pauline, un soir à son amant Qu'ell' désirait à la folie, Donnait un rendez-vous charmant Pour satisfaire son envie. "Ah, viens donc ce soir, Tu es mon espoir, Colin, n'y manqu' pas je t'en prie" (bis) |
3. "Eh tiens! voilà mon pass'-partout J'habite au cinquième étage. Eh! Colin attention surtout De ne pas faire de tapage; De mon cabinet, Tu sais le secret, Je ne t'en dis pas davantage".(bis) |
4. La mère avait quelque soupçon Car elle avait été gentille. Se doutant bien qu'un beau garçon Etait couché près de sa fille, Ell' mont' doucement Et frappe, pan, pan., Colin dans les draps s'entortille. (bis) |
5. "Maman, ne le découvrez pas, Il fait plus froid que de coutume. Laissez le coucher avec moi, Sous mon p'tit édredon de plume; Si vous l' découvrez, Maman, vous savez, Il pourrait attraper un rhume".(bis) |
Cette chanson qui date du début XIXe est connue sous d'autres noms, par exemple Pauline et Colin. Il en existe beaucoup de variantes. Nous n'en voulons pour preuve que la non-répétition du dernier vers dans le premier couplet. Dans le couplet final, on trouve parfois, non pas la répétition, mais les vers: |
Si vous l' découvrez, Maman, vous auriez Le coeur plus dur qu'une enclume Il pourrait attraper un rhume . |
1. Au bord de la Moselle. Y avait un batelier; Sa fille était pucelle. Et chacun le savait Tous les gars du village Entre eux se demandaient: Qui aura le puc'lage De la fill' de Gonthier, De la fill' de Gonthier. Tirelé Qu'a toujours son puc'lage De la fill' de Gonthier Tirelé Qui n' veut pas le donner. |
2. Elle fit la rencontre D'un galant de chez nous Qui lui offrit sa montre Et la prit sur les g'noux; Un oiseau dans les vignes, Eperdument chantait; Ell' n'eut qu'à faire un signe Et l'oiseau s'envolait; Et la fill' de Gonthier Tirelé Perdait son pucelage Et la fill' de Gonthier Tirelé N'eut plus rien à donner. |
3. Malgré bien des promesses L'amant ne revint pas Pour cacher sa grossesse La pauvrett' se noya. Aux jeun's fill's plein's de crainte, L'hiver, à la veillée, On chante la complainte De la fill' de Gonthier De la fill' de Gonthier Tirelé Qu'a perdu son puc'lage Et qui s'est suicidée Tirelé De n' pouvoir le r'trouver. |
1. J'étais caché sous la table à toilette Où se mirait la gentille Antoinette; J'étais placé de manière à tout voir, Jusqu'à son petit chose, Son joli petit chose Couleur de satin rose, Bordé de noir (bis)
3. Si Jupiter déchaînait son tonnerre, |
2. Un doux zéphyr caressait la nature, Lise dormait sur la tendre verdure, Sans se douter qu'on pût apercevoir Jusqu'à son petit chose, Son joli petit chose, ...
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5. Messieurs, Mesdam's et gentes Demoiselles, Qui désirez chansonnette nouvelle, Prenez la mienne elle est d'hi-er au soir, Composée sur un chose, Un joli petit chose, ...
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1. Io vitat! Io vivat! Nostrorum sanitas! Hoc est amoris poculum, Doloris est antidotum Io vitat! Io vivat! Nostrorum sanitas! Dum nihil est in poculo, Jam repleatur denuo
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2. Io vitat! Io vivat! Nostrorum sanitas! Nos jungit amicitia, Et vinum praebet gaudia Io vitat! Io vivat! Nostrorum sanitas! Est vita nostra brevior. Et mors amara longior
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3. Io vitat! Io vivat! Nostrorum sanitas! Osores nostri pereant, Amici semper floreant! Io vitat! Io vivat! Nostrorum sanitas! Jam tota academia. Nobiscum amet gaudia
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1. A, a, a, Valete studia! (bis) Studia relinquimus, Patriam repetimus, A, a, a, Valete studia (bis) |
2. E, e, e, Ite miseriae! (bis) Bacchus nunc est dominus Consolator optimus, E, e, e, Ite miseriae (bis) |
3. I, i, i, Vivant philosophi! (bis) Studiosi parvuli Etiam sunt bibuli, I, i, i, Vivant philosophi (bis), |
4. O, o, o, Nil est in poculo! (bis) Repleamus denuo, Nummi sunt in sacculo, O, o, o, Nil est in poculo (bis), |
5. U,u,u, In gente spiritu, (bis ) Celebramus epulas Cras habemus ferias U, u, u, In gente spiritu (bis), |